Pour cette année 2024-2025, 50 classes de MS au CM2 ont participé à cette belle aventure.
Le Prix des Incorruptibles est le premier prix littéraire décerné par les jeunes lecteurs de la maternelle au lycée. Une sélection de 5 à 7 livres est conçue chaque année pour les différents niveaux grâce à des comités de lecture composés de professionels de la lecture et de l'enfance.

Un grand nombre d'activités se sont déroulées autour de ce prix: échanges entre classes (maternelle-cycle 3), cercles de lecture, rallyes, lectures offertes, jeux et quiz, webradio, vote...
Le Prix des Incos est une action lecture citoyenne. Chaque enfant participant dispose d’une voix pour voter pour son livre préféré.
Découvrez les lauréats en cliquant sur ce lien. 

Comme chaque année, les médiathécaires des lycées français de l'Espagne et du Portugal mettent en place le Prix littéraire Tatoulu Ibérique. Les élèves des classes de CPC, CPD et CPH ont participé à ce projet et ont découvert cinq albums monstrueux : "Ils arrivent !" de Sylvie Neeman et Albertine ; "Tout les monstres ont peur du noir" de Michael Escoffier et Kris Di Giacomo ; "Comment ratatiner les monstres ?" de Catherine Leblanc et Roland Garrigue ; "Le monstre poilu" d'Henriette Bichonnier et Pef ; et "Max et les maximonstres" de Maurice Sendak.

Finalement, le lauréat 2025 est le classique "Le monstre poilu", qui a bien fait rire nos CP avec ses petites rimes et qui a été choisi par plus de la moitié des élèves de la péninsule ! Même pas peur !

Cette année, les élèves de la classe de GSE maternelle ont pris part à un projet enrichissant dans le cadre de M@termonde, un échange culturel francophone qui s’adresse aux classes de maternelle. Il vise à initier les enfants à la lecture, à l’écriture et à la création artistique, tout en leur offrant l’opportunité de collaborer avec d'autres élèves à travers le monde autour d’un thème commun. Pour cette édition 2025, le thème choisi était les Arts.
Pendant plusieurs semaines, ils ont coécrit et illustré un album avec des élèves du Maroc, des États-Unis et de la République du Congo. Chaque classe a écrit et illustré des parties de l’histoire selon un planning collaboratif.

Découvrez le projet ici :
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Du 13 mai au 20 juin, l’Institut Français de Madrid présente l’exposition Mapa de sueños réalisée par les élèves de l’atelier d’arts plastiques de Wilfried Raguël du Lycée Français de Madrid, en collaboration avec Sandra Mar, artiste résidente de la Casa Velázquez.

L’exposition Mapa de sueños présente les créations en céramique des élèves de l’atelier d’arts plastiques du Lycée Français de Madrid. Ce projet explore l’univers des rêves, transformant chaque pièce en une cartographie personnelle et poétique des aspirations, des souvenirs et des imaginaires. Cette exposition invite les visiteurs à un voyage dans un monde onirique où art et imaginaire se confondent. Elle met en valeur la créativité des jeunes artistes tout en illustrant la capacité de la céramique à exprimer l’invisible et l’intangible.

Chaque œuvre exposée ouvre une fenêtre sur des rêves et des paysages intérieurs. Les textures, les formes et les couleurs vives des pièces créent un dialogue entre tradition et innovation, entre réalité et rêverie.

L'exposition célèbre ainsi la transformation de la céramique en un langage universel empreint de poésie et d’émotion, tout cela enrichi par l’expertise artistique de Sandra Mar.

Informations pratiques :
📆 Du 13 mai au 20 juin 2025
📍 Hall du théâtre de Institut Français de Madrid
ℹ️ Plus d'informations sur ce lien

Biographie de l'artiste
Sandra Mar (Valence, 1995) a étudié les beaux-arts à l'Université Polytechnique de Valence, où elle s'est ensuite spécialisée dans la céramique en obtenant un master en production artistique. Comprenant l'argile comme une toile, ce matériau a fini par devenir un support pour ses dessins et ses écrits. L'élément central de son travail est la poésie, en particulier celle qui pose des questions sur l'amour, le désir et l'affection. Ses œuvres sont une manière de capturer son expérience physique et émotionnelle, à travers différents symboles qui construisent son imaginaire. Au cours du processus de travail, elle s'intéresse au dialogue qui s'instaure entre son corps et le matériau, qu'elle pousse jusqu'à ses limites.